Les jours filent et Son parfum n’est déjà plus tout à fait un nouveau venu dans les librairies. Je me détends un peu. J’ose de plus en plus m’y risquer (voir précédemment), quitte à m’exposer à la gifle d’une mauvaise mise en place ou le camouflet d’un livre tout simplement aux abonnées absents. Je dois être plutôt vernis, car je tombe malgré tout assez facilement sur lui, dans les quelques Fnac parisiennes que je fréquente. Certes, celles-ci sont vastes et riches en référence, mais je sursaute toujours un peu quand j’aperçois la pile au bout du rayon. Comme ici cet après-midi (entre deux rendez-vous, le reste du temps je flâne peu !!), à la Fnac des Ternes.
Et puis vos commentaires arrivent peu à peu. Sans doute trop favorables et aimables pour être 100% fiables, mais o’ combien réconfortants. Et puis si les mauvais se mettent eux aussi à pleuvoir, eh bien je les recevrai eux aussi, ils seront eux aussi les bienvenus, puisqu’ils prouveront que vous avez (a priori) pris au moins la peine de me lire. Comme ce visiteur de la Fnac.com qui m’assassine en une ligne sans rien dire du livre ? Mais l’a-t-il seulement lu, lui... ?. Alors critiques étayées, argumentées, documentées, je vous attends, vous êtes ici chez vous, vous aussi! Promis, dès que 5mn de répit me tombent dessus, je vous propose un premier florilège des meilleures remarques.
Les commentaires récents