Bon, les journées filent, se ressemblent, et j’en oublie de
vous raconter jusqu’aux plus palpitants de mes micro-rebondissements. Vendredi
dernier, donc, séance de travail avec ma camarade Aimée, auteure de quelques
livres de cuisine et aussi du très hilarant Almanach ébouriffé… publié dans l’une
de mes joyeuses collections. Lorsqu’elle n’écrit pas des livres drôles ou
alléchants, Aimée est scénariste de TV. Autant dire une mega pro dans l’art de
construire une histoire. Et comme les talents d’Aimée sont défendus par un
agent (enfin, une agente, Lise), elle m’a proposé que ce dernier (dernière)
défende les couleurs de Son parfum auprès des plus grosses maisons de
production, sous la forme d’une adaptation pour le petit écran. Avant donc de
retrouver Joséphine, Jules et les autres en prime time sur TF1, nous planchons
donc pour rendre « possible » les délires que je n’avais imaginé au
départ que pour le papier.
Ultra-stimulant de bosser ainsi de concert avec quelqu’un qui, si je l’avais eu sous la main à l’époque, m’aurait bien aidé à rendre mon roman plus trépidant encore… Bon, comme ce ne fut pas le cas, j’avoue que cette petite séance de rattrapage (avec l’hypothétique susucre du passage télé au bout) est vraiment la bienvenue. Merci à elle, donc… et double merci puisqu’il y a quelques temps, pour m’inciter à m’y mettre (au scénar), elle m’offrait le pavé dont le visuel trône en haut de cette note (La dramaturgie, de Yves Lavandier).
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